Il y a fort longtemps, en Egypte antique, un serviteur aurait laissé de la pâte se gâter.

Ce jour là, naissait le pain au levain.

Peu après, de l’autre côté de la méditerranée, à Rome, l’empereur eu l’idée de distribuer du pain aux pauvres pour calmer la révolte.

Au moyen-âge, les techniques de fermentation se précisent, le pain prend différentes formes et ses saveurs s’enrichissent.

En France, début 1789, à cause des mauvaises récoltes de blé, le prix du pain explose.

En octobre les français marchent chez “Le boulanger, la boulangère et le petit mitron” et le font chèrement payer au roi, à la reine et au dauphin.

Sous Napoléon la baguette apparait, plus facile à transporter que la tourte qui dominait jusqu’à lors.

Mais revenons au Moyen Âge. À cette époque, le croissant fait son apparition à Vienne (c’est une viennoiserie!), il permet de célébrer la défaite des Ottomans après leurs tentative de prendre la ville d’assault.

Celui-ci ne fera son apparition à paris qu’en 1719. Depuis nos boulangers travaillent tous les jours à la fabrication des meilleurs pains et viennoiseries.

Au 20e siècle, les techniques se perfectionnent et le pain reste l’aliment de base des Français. Il se conserve de mieux en mieux et permet aux soldats de tenir dans les tranchées.

Au début des années 2000, un jeune Français descendant d’une longue lignée d’artisans décide de repenser le métier : Firmin était né !

Grégory Fourey décide de réunir dans un même lieu les métiers traditionnels de la boulangerie viennoiserie pâtisserie et de la restauration.

C’est à Périgueux (près de Bordeaux dans le sud-ouest de la France) que l’idée à vu le jour, avant de se déployer dans tout le pays et maintenant aux Etats-Unis. Les frites (maison bien sûr !), les grillades à la plancha, les burgers, pizzas et quiches se mêlent maintenant aux odeurs habituelles de pain, de croissant et de gâteaux.
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